La vanité d'un roi

Le roi de Triox, toujours sur les nerfs, rentra au château. Depuis la disparition de sa fille bien aimé, le roi avait fait décapité 3 serviteurs et il était toujours en espèce de rage. Désirant tué ceux avec qui elle était. Il s'assit sur son siège de roi et demanda qu'ont lui apporte a mangé. Lorsque le tout fut faite, Faël mangea et sortie dans la cours. Il enfila une de ses nombreuses armures d'entrainement, prit son épée d'usage mineurs puis se réchauffa en faisant quelques maneuvre de combat. Il appela un de ses valeureux guerrier et commença à s'entrainer avec.

Le marchand d'animaux atterit directement devant les gardes sur le dos d'un magnifique griffon. Il en tenait un autre par les rênes. Les deux étaient harnachés pour être montés et semblaient totalment apprivoisés.

Il s'approcha des deux gardes à la porte et leur dit d'une voix calme mais autoritaire:

" Dites au roi Faël de Triox que j'ai sa commande et que j'attends son paiement. Il m'a fallu les commander à un ami d'Araphen ce qui explique mon retard. Encore que je me considère en avance vu le temps que l'on doit mettre à les dresser."

Faël s'entrainait toujours avec son garde, lorsqu'un de ses serviteurs vint l'avertir que ses griffons était arrivés. Content, le roi vint te rejoindre à l'entré. Il fut impressionnés par ceux-ci.

- Wow, qu'ils sont jolies ! Laissez les a mes serviteurs, ils vont s'ent occuper. Et voilà pour vous.

Il te lanca une bourse ou il s'y trouvais 2500 Kamas.
- J'èspère que sa va être suffisant.

"Si vous voulez juste me payer le déplacement et le transport alors oui ça suffira amplement. Mais si vous voulez m'acheter ces animaux alors il vous faudra faire un petit effort supplémentaire. En fait, ça me déchirerait le coeur de vous vendre ces bêtes pour un prix aussi mince alors qu'elles valent chacune au moins 10 fois cette somme. Nous parlons de l'chat de griffons volants et très bien dressés pas de vulgaires chevaux. " ajouta t il en souriant.

Il dit cela calmement et d'un ton professionnel mais en gardant toujours le sourire. Les bêtes qu'il a apportées en toute confiance directement dans ton chateau étaient en effet magnifiques et semblaient lui obéir au doigt et à l'oeil.

Cela te fit penser que tu ne pourrais pas les capturer par la force(si telle était ton intention^^) et qu'il te faudrait donc marchander si tu voulais obtenir un prix plus bas que celui qu'il t'annonceait( 50 000 kamas pour les deux en gros); un prix que tu savais être plus que raisonnable pour des animaux d'une telle qualité, d'autant que tu as largement de quoi les payer à ce prix.

Faël aimait le ton qu'emploiyais le marchant. Il est vrai que sont prix était un peu bas. Mais il ne savait pas qu'elle était la valeurs de c'est bestioles. En plus d'être un gratte-sous, cela ne l'aidait point.

- D'accors, si je vous offre 30 000 Kamas tout de suite et que je vous offre les 20 000 autres plus tard, cela ferait-il l'affaire ?

Il voulais être sur qu'ils soient bien dressés et qu'il ne se soit pas faite ''fourrer''comme sa, ils n'aurais pas payée le plein prix et il pourrais se faire remboursé sans trop de domage..

"Je comprends votre méfiance et je veux bien vous accorder cela, mais j'aimerais avoir une preuve écrite de notre accord, si cela ne vous dérange pas. Je peux vous écrire une sorte de contrat de suite et vous n'aurez qu'à le signer."

Après avoir dit cela il sort deux morceaux de parchemin d'une de ses poches ainsi qu'une plume et commence à rédiger quelque chose sur le flanc d'un des griffons qui se laisse faire sans aucun problème. Il te tend ensuite un des parchemins en te montrant où signer et te laissant le temps de le lire avant. Il est écrit dans un langage clair et stipule que tu lui dois 50 000 kamas en tout et que tu lui as déjà payé 30 000 kama en avoir. Si au bout de deux jours les griffons ne te conviennent pas il est prêt à les reprendre et te rembourser les frais payés(30 000 kamas). Si cela te convient tu peux signer le parchemin après lui avoir donné 30 000 kamas et il te fait signer l'autre parchemin qui est une copie conforme du premier mais qu'il conserve avec lui te laissant l'autre.

Le roi haussa les épaules. Il se retourna vers son serviteur et lui dit :

- Qu'ont m'apporte 50 000 Kamas qu'ont en finisse.

Quelques minutes plus tard, deux autres serviteurs arrivèrents avec les 50 000 kamas.

- Tien, tu as ce que tu veux, tu peux partire maintenant.

Sur ce, il se retourna et repartie s'entainée, laissant les griffons a ses serviteur qui allaient s'en occuper.

Le marchand te regarda avec un grand sourire.

"Je savais bien que nous n'aurions pas besoin de toute cette paperasse inutile. J'espère que ces animaux vous conviendont." Puis il te fit une révérence polie et s'en alla après que tu lui aies donné congé.